Pensionnaire dans une institution très sévère

Catégories : Hommes fessés
il y a 8 ans

Je me prénomme Antoine, j'ai été pensionnaire dans une institution très sévère de la 6° à la T°L. Je vous propose de vous narrer ma vie dans ce pensionnat.

Nous somme en septembre 1989. J'entre en 6°. Mes parents, des bourgeois de la région bordelaise, ont décidé de me mettre en pension. Ils disent qu'au vu de mes résultats scolaires en primaire, et de mon manque de motivation, c'est la meilleur des solutions. Au mois de mai, nous avons eu rendez-vous avec le directeur de l'établissement. C'est une école privé catholique. Un petit séminaire.

Le directeur, le père Kirchen, nous a reçus. Il a expliqué à mes parents que pour une instruction, un e n f a n t avait besoin d'une discipline stricte avec des sanctions adéquates. Que les châtiments corporels et que les punitions sévères sont la meilleure façon d'éduquer un jeune et de lui inculquer la notion du travail. Mes parents ont approuvé et moi j'ai passé mes vacances à penser à l'horreur qui aller m'attendre à la rentrée. Nous avons reçu le courrier de rentrée. Je fus surpris car il était précisé que nous ne devions pas apporter d'affaire personnel, que tout était fourni par l'institution.

Le jour de la rentrée, une fois que tous les élèves furent arrivés, le directeur nous accueille. Il nous rappelle le règlement puis on nous réunit par division. Il y a trois divisions. La communauté des petits (6°/5°), la communauté des moyens (4°/3°) et la communauté des grands (lycée). Là, notre préfet de discipline, le père Désbien, se présente à nous. Il est assisté de deux surveillants. Un pour les 5° Monsieur Perry et un pour nous les 6° Monsieur Wendling. Le préfet, nous rappelle les règles, nous présente son martinet et son paddle, et nous indique que les surveillants ont aussi le droit de correction. Nous somme ensuite appelé par ordre alphabétique chaque niveau (6° et 5°) d'un coté.

On nous coupe les cheveux bien courts, bien dégagé derrière les oreilles, puis on nous remet notre trousseau. Il se compose d'abord de nos uniformes. Le premier pour certaines occasions culotte anglaise classique en flanelle grise, chemise blanche, blazer bleu marine. L'uniforme classique de tous les jours. 2 Culottes anglaises classiques en velours côtelé bleu marine, 2 chemises blanches. 2 pulls en V couleur bleu marine. 7 slips blancs marqués pour chaque jour. 7 tricots de corps marcel blanc marqué aussi pour chaque jour. 7 paires de chaussettes noires. 7 gants de toilette 1 par jour.1 blouse bleu boutonnage sur le coté. 1 paire de chaussure basses noires et 1 paire de chaussure noires montantes. 1 paire de chausson. 1 Duffle-coat bleu marine. 2 serviettes de toilettes. Une trousse de toilette composée d'un savon, 1 flacon de shampoing, 1 tube de dentifrice, une brosse à dent, 1 coupe ongles. Nos affaires scolaires. Un micelle, et une bible.

On prend notre valise, et on se met en rang. Direction les dortoirs. Celui des 5° et au second, le notre au 3°. Dés que l'on rentre, on arrive dans la salle d'eau. Une soixantaine de lavabos et d'armoires alignés sur 6 rangées. Sur chaque armoire notre nom et notre classe est indiqué. Dans l'armoire on y trouve une paire de drap blanc que l'on doit sortir. On doit ensuite ranger nos affaires dans cette armoire et mettre notre 1er uniforme.

Nous arrivons ensuite dans le dortoir. 65 lits sont alignés en 2 rangée face à face. En face de chaque lit un bureau ou nous devons ranger nos affaires scolaires. Ensuite on doit mettre les vêtements dans lesquels on est venu dans un sac qui est placé dans un cagibi, puis nous retournons dans la cours en rang pour une inspection du directeur.

A notre arrivée, la division des petits s'installe à droite alignée. A notre gauche aligné de profil a par rapport à nous les moyens dans la même tenue que nous et en face les lycéens avec a peu prés la même tenue. Mais sont en pantalons.

Nous nous rendons ensuite au réfectoire. Le préfet nous a prévenus que nous devons garder notre uniforme propre car il ne sera pas laver maintenant. On nous sert une salade de tomates en entrée. Ca ne loupe pas. Pierre, mon voisin d'en face, renverse une tomate sur sa culotte. Le préfet le remarque, il l'attr a p e par l'oreille, le traine au milieu de la pièce. Il lui baisse sa culotte et son slip. Il prend une chaise, s'assoit dessus, il le couche sur ses genoux, relève son blazer et commence à le fessé. Pan, pan, pan, Pierre tente de se protéger le postérieur avec ses mains.

Le père Desbiens lui ordonne de mettre les mains sur la tête. Il s'exécute et l'homme en soutane reprend le châtiment. Après une dizaine de claques bien sonnantes, mon ami se protège à nouveau. L'abbé le relevé alors et se dirige vers la porte. Il prend alors sur une étagère de la ficèle.

Il se dirige ensuite vers Pierre et lui noue les poignets solidement. Il le recouche ensuite sur ses genoux et lui assène une nouvelle série de coup. Clak, clak clak ! Son cul rougi à vue d'œil.

Le préfet est expert. Il va de fesse en fesses avec une régularité de métronome et une f o r c e ardente. Mon camarade, a les larmes qui lui perlent aux yeux. Nous assistons à la scène et nous comprenons vite que ce qui nous a été expliqué s'applique à la moindre occasion. Je me dis que je vais tout faire pour me montrer très obéissant et je plains le pauvre Pierre que je trouve très sympathique. Au bout de 5 minutes environ, le supplice s'arrête. Il lui signifie qu'il devra copier 3 pages de la sainte bible le soir même et qu'il doit rester les mains sur la tête au centre du réfectoire.

Nous poursuivons le repas avec comme vue le cul tout rouge de notre camarde. Le repas se poursuit ainsi et au moment du plat principal, une élève de 5°, qui se prénomme François affirme qu'il déteste les choux Bruxelles et refuse don de manger ceux qui nous sont servis. Le préfet l'oblige à les mangé jusqu'au dernier, puis il le conduit par l'oreille au centre du réfectoire lui baisse culotte et slip, le courbe sur la chaise et lui donne le martinet. Les coups pleuvent à toute volée. Il encaisse les coups stoïquement dans un premier temps.

Mais la rage avec laquelle ils sont donnés le fait vite pleurer et crier. Il a les fesses striées et le préfet ne ménage pas sa peine dans la correction. Nous somme tremblants en assistant à cette démonstration. Il sait parfaitement manier cet instrument de t o r t u r e . Il le lève bien haut et le fait retomber avec f o r c e sur les fesses du pauvre François. A la fin de la sanction, François rejoint Pierre au centre les mains sur la tête. Le repas se termine tranquillement. A la fin, nous devons rester debout silencieusement.

Pauvre de moi, j'oublie vite cette consigne et demande je ne sais quelle bêtise à mon voisin. Vu et pris et pan, c'est à moi de tâter du martinet. L'abée Desbiens me baisse à mon tour ma culotte et mon petit slip blanc, me courbe sur la table et vlan me donne un premier coup de martinet. Moi qui n'est reçu qu'une raclée dans ma vie, et encore à la main, j'hurle immédiatement. Schlack,

AAAAAAAAAIeeeeeeeeee. Ca me brule. Schlack, Schlack, Schlack, les coups s'enchainent avec f o r c e . Je pleure. Après une bonne vingtaine de coups, j'ai le cul en feu. Je suis enfin autorisé à me rhabiller. Ouf j'ai évité l'humiliation d'être exposé comme mes camarades. Les autres vont en récréation. Nous, nous devons nettoyer la cantine. Une fois terminé la récré et terminée. Nous nous rangeons avec les autres.

Le préfet nous informe, Pierre, François et moi que nous ferons notre punition après les douches. Qu'en attendant, nous suivons les autres. Arrivé au dortoir, nous devons tous nous mettre en slip et torse nu. Trousse de toilette, pyjama et serviette à la main, nous devons nous mettre en rang et attendre l'arrivée du préfet. Il commence les douches par nous les 6°. A son arrivée, nous descendons en silence. Le seul bruit autorisé et le glissement des chaussons sur le marbre. Les douches sont au rez de chaussé.

Dés que nous y somme parvenu, nous sommes dans l'obligation de nous asseoir sur des bancs, placés dans le centre de la pièce. Il y a 12 douches. 6 de chaque cotés. Elles sont individuelles, séparées par un mur mais sans porte ni rideau. Si bien que le préfet peut nous observer et voir si nous nous lavons correctement. La douche se déroule ainsi. On se met nu. On dépose serviette et trousse de toilette sur le crochet prévu à cet effet. On range le slip salle dans la trousse de toilette. On se met sous la pomme de douche. Le préfet allume l'eau. Elle est plus froide que tiède. Puis il coupe l'eau. On doit se laver les cheveux avec le shampoing. Il remet l'eau. On se rince. Puis on doit se savonner tous le corps avec le savon et le gant de toilette. On doit se frotter parfaitement sans oublier de décalotter notre sexe.

Ensuite le préfet, remet l'eau. On se rince. On s'essuie et après avoir enfilé notre pyjama, nous retournons nous asseoir. Cela dure environ 10 minutes. Quand tous le monde est passé, nous remontons en silence. Mais pour cette fois, Pierre et moi sommes invités à attendre mains sur la tête au coin. Il redescend 5 minutes plus tard avec les 5° et renouvelle l'opération.

Une fois les douches des 5° terminées. Nous montons à son bureau. Il nous indique les pages de la bible à copier. Nous montons la chercher ainsi que des feuilles et un stylo. Puis nous rejoignons la salle de punition située prés de son bureau. A 20h30, il nous dit de monter pour la prière au dortoir. Nous sommes tous agenouillé prés de notre lit. Nous sommes sous la surveillance de monsieur Wendling.

Après la démonstration du repas, personne n'ose faire le pitre et tout ce passe pour le mieux. A la fin de la prière nous retournons finir nos lignes. Nous terminons à 22h. Nous allons nous coucher en silence. Les autres dorment depuis une heure. Nous devons dormir sur le dos les mains sur les couvertures.

Le lendemain matin réveil à 6H. Nous devons faire notre toilette, nous habiller et nous coiffer. On descend à la messe puis petit déjeuner retour au dortoir, brossage des dents, réfection des lits au carré. On se range et on va en cours. On découvre l'ensemble de nos professeurs. Tous nous disent que si le besoin s'en fait sentir, ils n'hésiteront pas à utilisé les châtiments corporels. On est fixé. Cette première journée se passe tout de même sans embuche mis cela ne va pas durer.....

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La discipline stricte avec des sanctions adéquates a fonctionné pendant des siècles, et depuis qu'elle est interdite, le monde devient fou
Ce n'est pas faux. Les fessées n'ont jamais tué personne mais ceux qui n'en ont jamais reçues tue parfois.
MAis c'était le bagne cette institution ! Dormier sur le dos mains sur la couverture, les douches sous contrôle,.... La suite s'annonce chaude !
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